Zaltana est née des flammes. Elles furent la première chose qu'elle vit en ouvrant ses yeux de ciel. Et à peine debout qu'elle dû fuir, frêle petite créature, pour sauver sa peau. Bien souvent Petite Fleur lui contait cette histoire. Comment, en ce jour funeste, elle a cru voir des silhouettes danser dans les flammes et saluer la nouvelle venue. Comment elle a cru entendre son nom, Zaltana, prononcé dans les langues ardentes. Et comment elles durent fuir aussitôt la petite sur ses pattes.

Elles ont eu une chance inouïe, ça, personne ne leur dira le contraire.

Zaltana, elle est issue d'un mariage forcé entre Petite Fleur et un étalon cowboy. Un magnifique Gypsian. Pie aux yeux d'azur. Il l'aida ensuite à s'enfuir, mais c'était trop tard, la petite grandissait déjà dans le ventre de sa mère. Mère qui n'en a jamais voulu à ce bel étalon - tout compte fait gentil. Mais elle ne pardonna pas aux hommes et à leurs lassos.

Son enfance fut simple, heureuse, insouciante. Zaltana était une petite effrontée, un brin arrogante et autoritaire. Elle n'hésitait pas à entraîner les autres poulains dans ses bêtises. Mais ses yeux de ciel... oh ! Avec ses beaux yeux de ciel, on lui pardonnait tout. Et au final, petite Zaltana grandit suffisamment sereinement.

Un peu trop mature pour ceux de son âge, trop jeune pour les adulte, elle eut un peu de peine à trouver sa place dans la harde. Et lorsqu'elle rencontra enfin un adulte suffisamment jeune pour lui apprendre à vivre sans l'assommer de conseils, de réprimandes et de devoirs, leur collaboration était toute trouvée. Après une ou deux parties de jeux, les voilà partis à l'aventure et à la découverte du monde entier. C'est ainsi qu'à ses un an, Zaltana partit découvrir la vie de solitaire aux côtés de Black Jack.

La grosse injustice de sa vie fut qu'elle ne dit pas vraiment au revoir à sa mère. Elle lui dit qu'elle l'aimait, chargea quelqu'un de la rassurer quant à son départ, mais elle ne lui avoua jamais son projet de vive voix. Et avant qu'elle n'ait pu revenir -car elle revient toujours- Petite Fleur avait trépassé. Elle ne l'apprit que tard - trop tard sans doute, car elle n'avait croisé personne de sa harde depuis son départ. Et quand elle l'apprit, elle en fut bouleversée.

Entre temps, les hommes avaient eu raison de Black Jack, également. Blessé lors d'une escapade dans les marécages, affaibili, il ne put leur échapper.

Et Petite Zaltana se retrouva seule. Très seule, tout à coup.

Blessée par son erreur, culpabilisant du trépas de sa mère et de la capture de Black Jack, Zaltana ressentit le besoin de quitter les terres du Cimarron. Elle s'enfuit, ne sachant plus où était sa place. Revenir à la Harde lui semblait bien dérisoire, maintenant que sa mère n'était plus. Sans plus aucun compagnon de route, rester dans les parages était ridicule. Elle était jeune. Elle était encore inattentive et insouciante. Des hommes auraient vite eu fait de la capturer. Alors elle s'est enfuie, elle s'est mise suffisamment hors de portée pour rester libre et, peut-être, se reconstruire un peu. Elle partit au Sud, dans les montagnes arides au-delà du canyon et du désert, près de la mer. Elle trouva une source d'eau claire, un peu de verdure, et apprit à survivre par ses propres moyens.

Un an passa ainsi, loin de tout. Mais les souvenirs des vastes pâturages la hantaient toujours aussi ardemment. Elle sentait que sa place n'était pas ici, si loin des terres de ses ancêtres. Et finalement, peut-être, poussée par son instinct, elle choisit de revenir, cheminant à travers les montagnes et les canyons, suivant son instinct, son coeur la menant droit vers les prairies d'autrefois.

Elle y rencontra Nio avec qui elle chemina pendant un temps. Elle rencontra également Artahel, qui se révéla être son grand père maternel. Il lui proposa derechef de rejoindre la tribu Nashoba, mais Zaltana refusa poliment : d'une part, elle avait encore beaucoup de choses à découvrir de la vie, et d'autre part, elle avait toujours appris à se méfier des humains. Le souvenir cuisant de la capture de Black Jack la hantait encore et elle n'était pas du tout prête à renoncer à sa liberté, quand bien même elle aurait pu errer près du camp sans être domptée. Non, pour elle, il n'y avait que la vie sauvage qui comptait pour le moment, même si elle était enchantée de découvrir qu'il lui restait de la famille. Elle et Nio resteront donc sur la Terre des Bisons provisoirement, pour qu'elle puisse revoir son grand-père et apprendre à le connaître un peu plus.

Après cela, elle rencontra Chollima, puis Moana, qui décidèrent à leur tour de voyager avec eux. Ainsi, ils commençaient à former une petite harde. Malheureusement, deux obstacles commencèrent à se dresser sur leur passage. D'une part, Nio commençait à montrer son vrai visage, et Zaltana commençait à douter d'avoir fait le bon choix ; ce n'était qu'un étalon macho aux idées bien trop arrêtées. Elle avait entendu des rumeurs sur son sujet, et plus elle l'observait, plus la situation la mettait mal à l'aise. En d'autres termes, il allait falloir prendre les choses en main sur ce point-là ; elle refusait d'être considérée comme la jument d'un quelconque harem. Mais une situation bien plus grave requérait d'abord son attention : les hommes avaient entrepris la construction d'un barrage qui avait grandement diminué le débit de la rivière indienne, et l'été s'était accompagné d'une période de sécheresse. Ils manquèrent rapidement d'eau dans les terres sauvages. Zaltana prit donc les choses en main pour la survie de son groupe ; car qui d'autre qu'elle l'aurait fait ? Elle connaissait mieux la région que chacun des autres membres du groupe, et elle avait les relations nécessaires pour les aider. Elle était leur leader toute désignée pour les sortir du pétrin (même si elle ne pensait pas en ces mots, car elle voulait seulement leur venir en aide).

Elle alla donc trouver Artahel pour conclure un marché momentané : l'autorisation de boire à la rivière des Nashobas pour elle et son groupe, et pendant ce temps, elle irait jusqu'à la Source Cachée pour voir si elle était asséchée ou non. Elle obtint l'autorisation, même si elle était temporaire et qu'il fallait se rationner le plus possible. Elle lui en était extrêmement reconnaissante, mais Artahel lui tint quand même un discours déroutant : "Ma foi, tu vas te retrouver à veiller sur une harde sans comprendre ce qui t’arrive. Nous héritons tous deux de lourdes responsabilités il semblerait." Elle n'avait jamais eu cette prétention, mais l'idée la laissait un peu rêveuse tout de même. Enfin bon, ce n'était guère le moment. Ni une, ni deux, la voilà partie à la recherche d'un point d'eau viable, et à son retour, elle guiderait les siens. Ensuite, il sera toujours temps de choisir un leader.

Oh, elle le trouva, ce point d'eau. Et j'aimerais dire que tout rentra dans l'ordre pour le petit groupe... Mais lorsqu'elle revint, ils ne l'avaient pas attendue. Nio était parti s'allier à la harde de Ferliya, une jument tyrannique de laquelle elle n'avait entendu que du mal, en entraînant les deux autres juments à sa suite. Non seulement ils l'avaient abandonnée à son sort, mais en plus, c'était pour... cette jument-là ? Où étaient passé leurs rêves d'indépendance ?! Elle n'en revenait pas ! Encore trop jeune pour faire la part des choses et comprendre qu'ils n'étaient tout simplement pas destinés à être sa harde, elle partit. Puisqu'ils n'avaient pas besoin d'elle, tant pis. Elle retourna dans les montagnes au Sud, puisque visiblement le Cimarron pouvait bien se passer d'elle !

Sans doute aurait-elle dû rejoindre Artahel et passer quelques mois voire années auprès des Nashobas, mais avec la sécheresse et les temps difficiles qu'ils vivaient, elle ne voulait pas leur traîner dans les pattes. Il avait assez à faire avec les siens. Alors elle passa simplement quelques mois d'errance dans les montagnes. À nouveau seule et libre comme l'air, exempte de toute responsabilité, elle retrouva bien vite la joie de vivre. M'enfin, la vie est bien triste sans personne pour la partager, n'est-ce pas... ?

C'est là qu'elle fit la rencontre de Féline. Féline qui revenait de si loin, qui avait perdu sa famille et traversé le désert... Zaltana ne put bien évidemment pas y rester insensible. Elle passa du temps avec la Rousse et elles partagèrent mille aventures. Le sourire de la mustang lui revint petit à petit, elle qui était si douce et bienveillante. Et quand Zaltana fut certaine qu'elle pourrait désormais se débrouiller seule... plus aucune des deux n'aspirait à partir. Elles étaient deux, désormais. Et elles resteraient deux. Leur désir de trouver une harde sereine et paisible était assez similaire, et suffisait amplement à leur faire suivre le même chemin. Plus important encore, Féline ne lui mettait pas de barrière. Si elle souhaitait partir à l'aventure, elle était libre de le faire (et souvent même, Féline la suivait). Elle était libre de vibrer, elle qui était si ardente et pleine de fougue.

De son côté, Féline souhaitait trouver d'autres compagnons de route. Elle ressentait le besoin d'être entourée et désirait plus que tout retrouver une harde unie et solidaire comme la sienne. Zaltana n'y voyait pas d'objection... si ce n'est qu'elle désirait choisir avec sagesse leurs compagnons de route. Elle ne voulait pas retomber sur un Nio ou une Ferliya. C'était sa seule condition ; et Féline ne le voyait pas autrement, de toute manière. Alors tout naturellement, elles envisagèrent de se créer leur propre petit groupe de voyage ; une harde donc, même si elles ne l'avaient jamais mentionné ainsi.

Un soir malheureusement, elles tombèrent sur un campement d'humains. Endormis, par chance, car elles purent s'éloigner discrètement... enfin, presque, car elles avaient sans doute réveillé un chien qui se mit à aboyer. Elles furent prises en chasse. Elles galopèrent à en perdre haleine, sans parvenir à les distancer. Leur seule chance était de se séparer... et les humains choisirent de poursuivre Féline plutôt qu'elle. Sans doute que la mustang semblait plus jolie ou mieux proportionnée, qui sait. En tout cas, Zaltana put bientôt ralentir. Mais elle ne revit pas Féline pendant de nombreux jours...

Jusqu'à ce que, un après-midi, Féline la rejoignit. Elle s'était retrouvée près du Cimarron et avait voulu en visiter quelques lieux. Et désormais, elle ne rêvait plus que d'une chose, y retourner avec elle. Zaltana hésita ; le Cimarron ne lui avait jamais rien apporté de bon très longtemps ; et s'il lui arrachait Féline, qu'adviendrait-il d'elle ? Mais l'excitation qu'elle percevait chez la Rousse finit par la convaincre ; une nouvelle aventure les attendait.

Et puis, il y avait Artahel à retrouver.

Et... Black Jack. Black Jack que Féline avait rencontré. Black Jack qui était à nouveau sauvage. Qui avait une fille. Et qui semblait... fatigué, d'après les dire de la Rousse. En tout cas, elle lui avait confié qu'il était bien différent de celui qu'elle avait décrit dans ses récits d'autrefois. Zaltana n'était pas bien sûre de vouloir le revoir (elle l'idéalisait toujours beaucoup et avait peur de gâcher ses souvenirs d'aventuriers intrépides), mais il semblait avoir besoin... D'un peu de feu dans son quotidien. Un Feu qui, chez Zaltana, ne cesse jamais de brûler. Et Féline, elle, ne cessait de l'encourager en ce sens.

Alors Féline et elle sont reparties de concert pour le Cimarron. Mais désormais, elles étaient deux ; ce qu'il manque à l'une, l'autre sait le lui apporter. Cette fois, Féline serait sa force et sa raison face aux imprévus de la vie sauvage. Elle ne se laisserait plus dépasser par les événements, ne foncerait plus (ou presque) tête baissée. Son Feu, désormais, pouvait brûler tant qu'il voulait. Pas besoin de l'étouffer et aucune raison de le laisser tout ravager. Féline était désormais le foyer qu'il lui manquait : contenir sans étouffer.

But/Objectifs : Vivre sa vie comme il lui chante, sans se limiter. Se constituer un petit groupe avec qui voyager dans la sérénité, sans revivre le même schéma qu'avec Nio. S'en remet à Féline pour un choix éclairé de leurs compagnons de voyage, a conscience qu'elle s'enflamme trop rapidement et se laissera conseiller.

Zaltana, elle est loin d'être racée. Non, Zaltana, c'est un p'tit mélange de plein de races différentes et pourtant... Pourtant elle a la grâce et la prestances des sangs purs. Elle est belle, ah ça oui ! Petite jument robuste, de carrure assez banale mais aux membres solides, elle tient fermement le cap et se campe fièrement sur ses positions. Elle n'est pas ronde pour autant, juste solide. Zaltana, c'est le genre de cheval qui résiste à tout. Elle n'est ni forte ni puissante, mais elle est robuste. Comme le roseau qui plie mais ne rompt pas sous la tempête. Zaltana, elle n'est pas spécialement grande, mais avec tout le sang de poney dont elle a hérité, elle peut être heureuse de son petit mètre soixante (et des poussières).

Malgré ses membres épais et son large poitrail, elle garde une certaine grâce, une légèreté dans ses mouvements. Elle a de belles allures, ah ça oui. Et elle est même plutôt rapide, d'ailleurs - Black Jack en attestera ! Zaltana, c'est une jument qui n'a aucune peine à vous faire des demi-tours en tête d'épingle au trois recoins du monde. Elle se faufile un peu partout avec aisance et sa première année d'errance a rendu son pas assuré et sécuritaire. Si petite il lui arrivait de trébucher, ce n'est plus le cas depuis longtemps maintenant. Peut-être même qu'elle saurait traverser des glaciers sur la pointe des sabots, comme April et Féline ! Peut-être, peut-être. Je lui souhaite. En tout cas, il n'est plus l'heure à faire attention où mettre les pieds ; ses sabots trouvent le chemin d'eux-mêmes.

D'ailleurs, ses sabots couleurs sable sont plutôt larges. Pas aussi lourds que ceux des chevaux de traits, mais suffisamment pour, justement, lui donner de bons appuis et une démarche assurée. Elle a hérité des épais fanons de son père. Sa robe aubère, elle, lui vient de sa mère. Zaltana, c'est une petite jument beige, mais sa tête et ses membres, eux, arborent une couleur fauve chatoyante. Elle a hérité de quelques tâches blanches (pie) de par son père, ainsi que deux balezanes aux postérieurs. Son nez boit dans son blanc et son front s'orne d'un petit losange en guise d'en-tête. Quelque part au milieu de son ascendance s'est transmis un gêne dun, puisqu'elle arbore une raie de mulet rouille et que ses membres sont zébrés. Allez savoir d'où il vient, ce gène ! Zaltana, elle a hérité des crins flamboyants de sa mère, mais ses yeux, eux, lui viennent de son père.

Son regard, c'est deux éclats de ciel. Deux petits morceaux d'azur volés à la couverture céleste. Ses yeux, ils sont beaux. Envoûtants. Difficile de rester en colère contre eux bien longtemps... et elle le sait. Elle aime se servir de son petit air navré, de son coup d'oeil moqueur, de son regard séducteur. Ses yeux, c'est sa petite arme à elle. Et je dois bien l'avouer... ils sont splendides.

Globalement, oui, Zaltana c'est un gros mélange de plein de races étranges. Mais au final, elle n'a rien à envier aux plus racés. Née du Feu, Fille des Flammes, elle dansera encore longtemps de sa grâce aérienne.

MAJ août 2023 : Zaltana et Féline ont commencé par contourner les montagnes pour traverser le territoire des Nashobas, dans l'espoir d'y retrouver Artahel. Malheureusement, arrivées sur place, elles découvrent que le campement a été ravagé, et aucune trace d'Artahel. Quand elle interroge les quelques chevaux présents, elle n'obtient pas de réponse claire (certains ne semblent même pas venir de la même tribu ! Que se passe-t-il ici ?!). Un peu déconfite, elle continue son chemin et accepte de rester à proximité de la Forêt Sombre et de la Forêt Verdoyante avec Féline. Au cours de ses pérégrinations, elle se met en tête de découvrir pourquoi la Grande Harde s'est dissoute ; peut-être qu'une menace plane sur le Cimarron et qu'elles n'en savent rien ? Mais arrivée sur place, et après avoir rencontré Fériel, elle en vient à la conclusion que la harde s'est simplement dissoute après la disparition de Ferliya, rien de plus. D'ailleurs, elle l'apprécie bien, cette Fériel. Apparemment elle serait née dans la Harde de Ciel Étoilé, elle aussi ? Étrange qu'elle ne se souvienne pas d'elle, pourtant elles ont à peu près le même âge... Mais Fériel semble bien timide ; peut-être qu'elle ne traînait pas avec les autres poulains, qui sait ? Enfin, passons. Peu de temps après, Zaltana tombe sur Black Jack, totalement par hasard. Oh... Elle n'était pas bien sûre de vouloir le revoir, et elle est encore moins sûre de savoir comment se comporter, mais puisqu'il est là, elle ne va pas filer en douce. Ils se racontent leur histoire respective et la Rouquine oscille entre la joie de l'avoir retrouvé et un certain inconfort ; comment agir, désormais ? Il leur faudra du temps pour réapprendre à se connaître, mais Zaltana est bien décidé à le prendre, ce temps. Ils conviennent donc d'un prochain rendez-vous, avec la fille du Noiraud, cette fois. Mais avant qu'il n'ait pu avoir lieu, elle fera également la rencontre de Taima, l'amie de Black Jack.

Pseudo : PAN Pando, t'es morte 8D (oui, je tiens à cette blague et oui, je la ferais à chaque présentation x))
Âge : ça dépend à qui tu demandes :D
Où as-tu trouvé le forum ? : Je... m'en souviens plus x'3 Je pends la poussière ici depuis trop longtemps :p
Comment le trouves-tu ? : En général, j'ai un p'tit favori en haut de mon navigateur avec son nom dessus ; je click et pouf, j'ai trouvé le forum :DD
As-tu lu le Règlement ? Mets-en la preuve : Seriously ? :'D Je m'auto-valide ? x'3
Quels sont tes Doubles-Comptes si tu en as ? : Narcisse et Féline (et anciennement Pandora, Zaldae et Kinley)
S'agit-il de ta première expérience en RP ? : S'agit-il de ta première rencontre avec moi ? :)

Crédits du Personnage : À l'origine, Zaltana est un Pré-Créé de Petite Fleur (aka PF). Son évolution et la réécriture de cette présentation, quant à eux, m'appartiennent.    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], donc par PF ; [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], donc par mes soins.