[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Nom: Sun Moon Age: 11 ans Sexe: Jument Race: Shire Groupe: Harde Grade: Aucun pour le moment.

Physique:

La première chose a laquelle on pense quand on me voit, c'est que je suis énorme. Et ils ont bien raison. Je fais deux bon mètre au garrot et comme tout bon cheval de trait qui se respecte, j'ai un physique très imposant. Bien évidement, je fais mon poids ( on ne demande pas cela a une dame voyons ) qui est d'une tonne. Je suis baie, crin noir et abondance de fanons blanc tout en bas de mes jambes.

Caractère:

Mon caractère justifie mon nom. A la lune, j'ai emprunté ma douceur et ma gentillesse. Je suis délicate contrairement a ce que laisse envisagé mon physique. Je fais toujours attention a mesurer ma force lorsque je côtoie d'autre êtres. Au soleil, j'ai emprunte un coté ardent, un besoin sans cesse de me défouler, de me dépenser, de jouer de ma force et surtout, de courir. Car j'adore courir en dépit de mon poids, même si je suis plus lente que la plupart des autres races équines.

VOICI MON HISTOIRE ...

Mon histoire commença un matin de printemps, dans une région reculé d'une île que les hommes appellent l'Angleterre. Ces derniers étaient déjà la des ma naissance, auprès de ma mère et s'extasiaient déjà en voyant combien j'etait précoce physiquement. Le lendemain, moi et ma mère étions lâchés dans un pré et je découvrit que j'etait née dans ce qu'on appelle un haras, dédié a notre race. Les premiers temps, je dois bien vous avouer que j’engloutissais des litres et des litres de lait maternelle et tout les jours, j'avais le droit sous le regard méfiant de ma mère a un examen pour voir si j'allais bien. Pis ils me faisaient avaler de drôles de choses, apparemment c'était pour mon bien, pour éviter certaines maladies. En même temps que pouvais je faire pour m'y opposer, j'etait qu'une pouliche. Les mois passant, je pris beaucoup de poids et de taille, je complétait le lait par de l'herbe et du fourrage que nous donnait les hommes.
Mais je ne me faisait pas d'amis parmi les poulains de mon age, a l’époque, j'etait incapable de mesurer ma force quand je jouait avec eux. Du coup, je devait évacuer autrement mon trop plein d’énergie. C'est a ce moment la que je me suis prise de passion pour courir. Voilà que je me prenait pour un pur sang arabe, a galoper dans le pré comme une folle. Progressivement aussi, les hommes commencèrent a m'habituer a certaines choses pour mon emploi futur. La bride, les fers, la selle puis un attelage, tout y passa ou presque. A deux ans, je commençais a tirer un attelage avec des touriste a travers les forets alentours. Cela ne me dérangeais pas, surtout que je trouvais la un autre moyen de me dépenser. Au début ce fut dure, je n'avais pas encore tout a fait mon physique actuel. Quand cela arriva a trois ans, que j’eus atteint les deux mètres au garrot et un poids d'une tonne, les humains avaient du mal a trouver une occupation qui puisse canaliser mon énergie. Le matin, j'etait monté en leçon par des enfants un peu intimidé de se retrouver aussi haut perché. Pour tout vous dire, être monté, c’était pas mon truc et ils le virent bien. J'avais beau faire preuve de patience et de douceur, des que la leçon se finissait, je trépignait littéralement, faisant sentir mon besoin de me dépenser. A 4 ans, cela devint problématique. L'atellage ne me suffisait plus ou alors il fallait que ce soit pour livrer d’étrange grosse boite de bois rondes qui contenait un breuvage d'homme.
A me faire remarquer ainsi, on eu l'idée de m’intégrer a un programme de promotion de la race. L'idée était de me présenter a divers réunions pour promouvoir la race a laquelle j'appartenais et par mon trop plein d’énergie, briser l'image de sérénité et de trop calme qu'on nous collait a la croupe. 6 mois plus tard, je fut vendu. L'idée de partir loin de ma mère me déchira le cœur je dois bien l'avouer. Surtout que d’après ce que j'avais compris, mon acquéreur était un exploitant de bois dans le Nouveau Monde et je me faisait pas d'illusion, il voulait que je travaille toute ma vie a traîner du bois. Quel triste vie, comment allais je vivre ainsi brider dans une morne routine, sans pouvoir courir pendant des heures.
Après une traversée de l’océan où je fut si éprouver que je resta malade une semaine et que je me promis de ne plus jamais mettre les sabots dans un bateau. Je fut mise au travail. Bon tout était pas aussi noir que je le prévoyais, le travail n’était pas bien dure, les hommes étaient très gentils avec moi et très impressionner par ma force mais la routine, ça vous mine a un point. Une nuit au pré, une nuit de pleine lune alors que je dévorais littéralement tout ce que je trouvais, mon regard se posa un peu par hasard sur une silhouette en haut d'une colline. C’était la première fois que je voyais un étalon sauvage, je ne pensait même pas que cela pouvait exister encore. Au mépris du danger, il vint dans ma direction. Je vis quand il fut proche de moi qu'il n'en menait pas large, sans doute n'avait t'il jamais vue aussi imposante jument que moi.
- Tu es nouvelle toi, je ne t'avais encore jamais vu. Mais ce qui m'impressionne encore plus, c'est ton physique. Par quel miracle es tu devenue aussi imposante ?
- Mais c'est par le miracle qui t'a aussi engendré, on appelle cela le miracle de la vie.
- Oui bon ça va hein – j'avais sans doute toucher la corde sensible de la fierté – en attendant, pourquoi ne cherches tu pas a t'enfuir ? Tu n'as donc pas envie de faire ce que tu veut, quand tu veut?
- Peut être mais en attendant, je n'ai pas a me plaindre de ma situation, ils me traitent bien, ils sont gentils avec moi et je peut me dépenser a loisirs .
- Tu parles d'une vie. Réveille toi un peu, on est pas dans un monde bubulle et paillette. Ils sont sympa avec toi uniquement parce que tu leur apporte quelque chose. Quand tu ne leur sera plus utile parce que devenu trop vieille ou blesser sérieusement, tu crois vraiment qu'ils te garderont?
- Je n'ai connu que cela, j'ai toujours vécu auprès des hommes. Ils ne sont pas tous comme tu les décrit.
Nous fumes interrompu par une porte claquant sur une maisonnette du camp. Il me glissa rapidement son nom, Galadrial a l'oreille et s'en alla avant de se faire repérer. Les jours suivants il revint de temps a autres et je nota qu'il essayait de réveiller en moi mon envie de liberté, de me faire rêver de cette vie qu'il menait, libre comme le vent, allant où il voulait quand il voulait. Au début, je n’était pas convaincue, je restait camper sur mes positions tel un poteau enfoncer dans le sol. Mais avec la routine s'installant, mon envie de faire autre chose devint un peu plus forte a chaque nuit. Une nuit enfin, voyant clairement que j'en avais plus que marre de cette routine, Galadrial vint me porter le coup de grâce. Il ne vint pas seul mais avec toute sa troupe, le plus silencieusement possible. Il menait une troupe d'une douzaine d'unité, cinq juments dont quatre montraient des signes évident de gestation et 7 jeunes dont trois en bas ages, les autres avaient un ou deux ans a vue de naseau. Voir tout cela me fit céder, c’était exactement tout ce dont je rêvais, tout ce dont j'avais oublier. Une famille, ma mère, courir, ma liberté. Je ne pouvais plus rester la a perdre du temps et a gâcher ma vie. Et même si l'enclos était trop haut pour que je puisse sauter par dessus, il ne me résistera pas du tout. En deux ruades, je créa une brèche et je suivit Galadrial et sa troupe au grand galop, poussant un hennissement de bonheur une fois loin du camp. Sentir le vent dans ma crinière était une sensation qui m'avait trop manquer, j'etait libre, je me sentais tellement légère, comme si on m'avait enlever une charge sur le dos.
Depuis ce jour, je voyage seule bien que je reste souvent en contact avec cet étalon sauvage qui m'avait ouvert les yeux. Il me faut désormais que je trouve ma place en ce monde, en cette nouvelle vie pleine de joie qui s'annonce.
Une vie d'errance et de liberté, où je fais vraiment ce que je veux. Je mange ce que je veux, je cours quand je veux, je rencontre qui je veux. Je n'ai appris que récemment a contrôler ma force, ce qui me permet de ne plus me faire rembarrer par la faune locale, un peu trop bousculer quand j'essaye de jouer avec eux. A plusieurs reprise, j'ai rencontrer un trognon et attachant petit étalon doré, un certain Nio. Il a une frousse pas possible des humains et par la force des choses, il m'a invité a rejoindre sa petite troupe, chose que j'ai accepté, la liberté, c'est bien plus marrant a plusieurs. Et encore plus récemment, voila qu'on a rejoint une autre troupe, celle d'une certaine Ferliya, la Dame Noire qu'on l'appelle. Aussi aimable et raide qu'un bout de bois, caractère qui tranche du tout au tout avec sa fille, Esdraël. Diantre, il y'a vraiment un étalon qui a réussit a adoucir cette montagne congelé assez pour instiller un désir de création de vie? Je lui tire mon toupet.

 

Prénom: Vous le connaissez déjà.
Age: Idem
Où as-tu trouvé le forum ?: En étant déjà membre
Comment le trouves-tu  ?:Tres bien
As-tu lu le règlement ? Mets la preuve: J'ai vraiment besoin de la remettre cette preuve?
S'agit t'il de ta première expérience en RP ? Non