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 Atticus dit "Le Saltimbanque"

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Greytchen
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MessageSujet: Atticus dit "Le Saltimbanque"    Atticus dit "Le Saltimbanque"  Icon_minitimeMar 23 Nov 2021 - 21:35





Atticus

« Je suppose qu'il ne me reste plus que des doutes. Des doutes et des cicatrices. »




— Carte d'identité.
Prénom :
Atticus
âge :
10 ans
origine :
Hidalgo, Nuevo Leòn, Mexique.
famille :
Une harde dans laquelle il à vu le jour au Mexique. D'anciens collègues de l'époque du gang.
sexe :
Etalon
génétique :
Aztèque
groupe :

grade :


— Personnalité.
Atticus mérite bien ce surnom de Saltimbanque qu'on lui attribue. Sous la selle de John, c'est un bon cheval de travail, fort et endurant, même s'il est capricieux, et parfois un peu trop brute de décoffrage.

Ce cheval à beau être solitaire et avoir une attitude détachée, il n'est cependant pas le plus insensible.

Il à l'âme d'un chef, c'est un leader doté d'un courage sans faille et doublé d'une fierté d'étalon. On peut même dire qu'il à un goût prononcé pour les choses dangereuses et les interdits l'excitent.

Il sait manier les mots et a de belles manières, surtout quand il a besoin de se faire bien voir ou de baratiner. Ses intentions ne sont pas toujours des plus classes. N'y voyez pas forcément de méchanceté, c'est simplement que pour lui, tout moyen est bon pour mener à bien ses projets ou pour aider une personne qu'il estime.

Quand il apprécie quelqu'un, il se montre très taquin, attentionné et extrêmement protecteur et loyal. Pour lui, même l'amitié est sacrée. Ses amis sont sa seconde famille. Ses sentiments d'affection sont très difficiles a décrypter car Atticus les caches bien derrière son ton belliqueux, son apparente désinvolture et ses mots un peu rudes. Le voir rire de bon cœur est très rare par contre, on le voit souvent sourir quand il se moque de quelqu'un.

En bon étalon qu'il est, c’est un dragueur. Un véritable coureur de jupons qui ne s'en cache pas. Les vertueuses, les garces, les timides, les délurées, celles qui refusent de s'offrir à lui… Il les lui faut toutes et Atticus n'est pas très fidèle ni des plus délicats non plus mais jusqu'ici, il n'a jamais vraiment eu le temps de s'attacher a une femelle. Il s'est toujours contenter de mordiller quelques croupes avant de filer juste après au cour de ses cavales.

Ce même instinct d'étalon le pousse à se mesurer presque constamment aux autres mâles. Même à un camarade. Autant dire que l'atmosphère est explosive quand il rencontre un autre cheval avec autant d'aplomb et de pulsions masculines que lui. Le canasson n'a pas peur des bagarres qu'il démarre souvent lui-même. il mordra, il frappera, rendra les coups aussi fort et aussi bas, surtout s'il déteste son adversaire.

Malgré ces facettes de sa personnalité, en premier lieux, Atticus est le premier a donner de sa personne. Dans son cœur, il a une petite part d'altruisme et de générosité. Il ne va peut-être pas vers les autres pour leur demander ce dont ils ont besoin, mais s'il entend crier à l'aide il galopera au secour d'une demoiselle ou d'un gaillard.

Atticus n'est vraiment pas facile a cerner pour les autres et il est d'autant plus attirant mais jusqu'à maintenant, a part les anciens de sa bande, personne n'a cherché a aller par dela les apparences. Ne vous méprenez pas, cela lui importe peu.

Il n'a pas vraiment une bonne opinion de lui-même et il le reconnaît publiquement. Il sait que l'enfer l'attend mais c'est ainsi, et il en sera toujours ainsi. C'est pour cette raison qu'il continue a vivre ainsi une vie de Saltimbanque. L'étalon prend les choses comme elles viennent et cette vie lui convient bien. Qu'elle soit solitaire ou non.

    — Histoire.


Au Mexique, près de la ville d'Hidalgo. Sur des terres sauvages rongées progressivement par les humains, un poulain a la robe d'or montra le bout de son nez. Il naquit dans un troupeau restreint de juments sauvages, sous l'ombre des fiers condors tournoyants dans les cieux de cette régions chaude et désertique. Son père, venu il y a des mois et ayant fait son affaire avant de s'évanouir dans la nature sans se soucier du sort de sa descendance, seule sa mère l'a éduqué. La première chose que le tout jeune animal apprit dès ses premiers pas, c'est d'aimer la liberté du peuple dont il est issu tout en restant sur ses gardes. Cette vie dans le désert était dangereuse mais pourtant le jeune équidé s'abattait joyeusement.

Un an après sa naissance, alors que le Yearling menait une vie banale parmi les siens, son destin pris une tournure inatendue...

L'âge avançant, le jeune commença à s'évader seul. Une envie d'ailleurs grandissante guidait alors son esprit et ses jeunes sabots sans qu'il ne s'en rende vraiment compte. Il regagnait la harde après quelques minutes d'absence ou en cas de danger.
Un jour malheureusement, il n'eut pas le temps de faire demi-tour. Ce jour là, il rencontra l'Homme et plus précisément trois humains, assis sur le dos de chevaux portant de drôles d'objets. Cette image restera gravée à jamais dans sa mémoire.

Après une course poursuite plutôt courte, les trois bipèdes entraînèrent leur prise derrière eux, la tirant avec force par le biais de cordes qui lui serraient le cou et l'encolure. Le poulain supplia pour qu'on le libère et appela sa mère, mais son troupeau était trop loin. Il voyait son territoire s'éloigner lentement et les chevaux domestiqués ne lui prêtèrent aucune attention. Après avoir lutté un long moment, le poulain rendit les armes et se lassa entraîner vers l'inconnu.

Après une longue nuit de marche vers le sud du Mexique, au petit matin, le groupe arriva en ville. Le poulain prisonnier vivait un cauchemar éveillé. Son petit cœur battait de terreur entre les sifflements du train à vapeur, les aboiements de chiens, les cris des commerçants, les râles et les gestes brusques des ivrognes se réveillant après une grosse soirée de beuverie…

Le poulain, affolé, tenta une nouvelle fois de fuir en tirant sur ses liens et à grand renfort de ruades mais ce fut un nouvel échec. Il se rendit à l'évidence. Il était bien frêle comparé aux chevaux robustes qui aidaient les trois humains à le tirer.
Son voyage s'arrêta devant un grand bâtiment entouré d'enclos où encore d'autres chevaux s'ébrouaient. Ils n'avaient pas l'air paniqué. Ils étaient même paisibles. Le poulain les regarda avec un drôle d'air tandis que les humains le guidaient jusqu'au paddock, un enclos ou le propriétaire des lieux pu estimer la valeur du Yearling.

Quand enfin on lui retira ces cordes qui lui irritent la peau et l'étranglaient, la première réaction du petit cheval fut la fuite mais les hommes avaient pris soin de fermer la porte du paddock avant de le libérer. Le propriétaire de l'établissement, fort inspiré par le challenge que représentait l'apprivoisement et le dressage d'un jeune cheval sauvage, conclu la vente dans les minutes qui suivaient.
Après quelques poignées de mains, l'équidé se retrouva seul face à un nouvel humain qui l'observait comme un coyote guette un faisant.

Durant deux années durant, les exercices s'enchaînèrent afin d'apprendre au poulain à ne plus avoir peur du monde des humains et à accepter leur présence, notamment sur son dos.
Cette période ne fût pas de tout repos pour le jeune cheval que les humains désignaient par "Numéro 4"
Quand il fût débourré et prêt à travailler, le cheval doré d'un peu plus de trois ans devait faire l'objet d'une vente.
Cependant, tout ne se passa pas comme prévu…

L'Aztèque était destiné à être vendu aux enchères, à l'occasion d'un grand festival agricole ou les humains pourraient trouver des chevaux, des vaches, des taureaux, des porcs ou encore des chèvres, des moutons ou oiseaux de basse-cour.
Le jour J, le Yearling attendait son tour non loin de l'enclos ou se déroulait les enchères. Alors que l'attention des fermiers locaux était portée sur un énorme taureau, des coups de feu résonnerent.
Soudain, une vague de panique s'empara de la ville et tout le monde quitta les lieux précipitamment tandis que deux groupes de personnes armées échangeaient des tirs.

Un groupe à cheval était mené par un homme avec une étoile sur le torse. L'Aztèque savait que tout le monde ici l'appelait “Shérif”
L’autre groupe qualifié de “Hors la loi” semblait plus désorganisé, mais pas moins efficace. Ils tentaient tous de regagner leurs chevaux pour fuir les autorités tout en portant des sacs en toile de jute. Alors qu'un des malfaiteurs s'apprêtait à enfourcher son destrier, la monture de ce dernier fut touchée par une balle perdue. Elle s'écrasa lourdement sur le sol, inanimée.

Choqué face au spectacle macabre, l'Aztèque se cabra en hennissant. C'est alors que l'attention du malfrat se porta sur lui. L'homme, couvert par ses alliés, se mit à courir en direction de l'étalon, bondit par dessus la barrière et tout en attrapant les rênes, se hissa sur la selle rutilante que portait le cheval. En donnant plusieurs coups de talons, il ordonna au cheval de galoper puis de sauter la barrière. Poussé par l'agitation et l'instinct de fuite, le jeune cheval coopéra.

Une fois sortis de l'enclos, une longue cavalcade débuta dans le but de semé les autorités. Quand ce fut chose faite et que le calme revint, le groupe de bandits choisit de retourner dans leur campement. Arrivé sur place, l’homme descendit du dos de l'Aztèque. Encore agité, le Cheval doré se cabra et gratta énergiquement le sol. Celui qui venait de le chevaucher se mit à le contempler tout en tentant de le calmer, et lui caressa le chanfrein.

“Merci pour ton aide l'ami. Sans toi, y'aurait plus de John dans cette bande. j'vais te retirer cette bride, tu vas pouvoir te reposer.” dit l'humain en retirant le harnachement du cheval.

L'étalon se retrouva sans selle ni bride, dans un endroit sauvage, sans barrières pour le retenir.
Une sensation familière qu'il avait perdue effleura ses pensées et une sensation d'euphorie s'empara de lui. Il quitta le camp à la hâte pour profiter de cette liberté retrouvée en galopant sans destination précise.
Après cette bouffée d'oxygène, l'euphorie se dissipa pour laisser place à la réalité. Il était seul, loin de chez lui. Il ne savait pas comment rentrer et retrouver le désert qui l'avait vu naître, cela faisait trop longtemps que les hommes l'avaient emporté et il était si jeune. Après une nuit de réflexion, seul dans la nature, l'Aztèque prit une décision qu'il n'aurait jamais cru prendre il y a quelques mois de cela: retourner auprès des humains, et surtout avec John, qui lui avait permis de goûter à nouveau à la liberté.

Quand le cheval retourna au camp, il approcha de John qui était assis sous un arbre . Le jeune étalon pesa une dernière fois le pour et le contre puis posa son nez sur l'épaule de ce dernier. L'humain lui adressa une caresse, un sourire aux lèvres puis il se leva et attrapa la bride que l'étalon portait la veille pour l'inspecter longuement.

“ Sur ta bride y'a marqué “Numéro 4”, mais tu sais quoi l'ami ? Moi j’préfère t'appeler Atticus.”

La vie d'Atticus le Saltimbanque démarrait...

Les années passèrent rapidement.
Atticus s'était fait accepté de tout ses congénères au sein du gang. Des chevaux hauts en couleurs. Des gros durs prêts à en découdre, des fins stratèges, des juments aussi belles que dévouée aux tâches du camp. Des équidés habitués à changer de vie si rapidement.
Ils étaient comme des frères et sœurs pour Atticus et chacun l'a influencé, lui qui n'avait plus de famille ni de repères depuis petit.
L'adolescence faisant, il s'amusait à rouler des mécaniques devant les juments ou bien il se battait amicalement avec les mâles. L'un d'entre eux, Darius, était très facilement irritable et le courant entre lui et l'Aztèque avait souvent du mal à passé. Leur fraternité fragile se brisa quand vint un accident lors d'un braquage de diligence ou la compagne de Darius perdit la vie avec sa cavalière.

Elles étaient accompagnées d'Atticus et John cette fois là, mais dans un échange de tir, une caisse de dynamite que les braqueurs n'avaient pas vue explosa. John et son étalon sont revenus seuls et bredouille.
Cet événement troubla l'entente entre les membres du groupe. A mesure d'efforts et de petits larcins fructueux pour le gang, John et Atticus furent pardonnés par tous.
Tous sauf Darius. Envahit par la colère et la tristesse, il s'était persuadé tout seul qu'Atticus avait négligé la sécurité de la jument et qu'il l'avait laissé périr sans lui venir en aide.

Avec le temps, Atticus était devenu proche de John, le seul humain dont il acceptait désormais la selle pour le remercier de la semi-liberté que le malfrat lui laissait.
Le Gang s'enrichissait mais il leur en fallait toujours plus, si bien qu'il élaborèrent un plan pour le plus gros braquage qu'ils n'aient jamais tenté: le casse de la Banque de Mexico.

Mais qui aurait pu prédire que la bande serait doublée par un gang adverse? Même les autorités étaient déjà présentes quand le gang arriva. Quelqu'un avait dû vendre la mèche.

Toujours est-il qu'en arrivant sur place, la bande de l'Aztèque fut prise pour cible et plus précisément, les balles se dirigèrent vers le chef. John et Atticus étaient sommés par les autres de s'interposer et de mettre le chef a l'abri mais avant qu'ils n'aient pu faire quoi que ce soit, le chef et sa monture étaient étendus sur le sol, criblés de balles.

Pourchassé et touché à l'épaule, John fut forcé de prendre la fuite avec Atticus, sans savoir comment se débrouilleraient ses camarades.
Quand enfin ils parvinrent à distancer leurs assaillants, le duo retourna au camps dans l'espoir d'y retrouver leurs camarades. Certains étaient revenus, parmi eux beaucoup de blessés.

Quand John mis pied à terre, il fut violemment frappé au visage, si fort qu'il en tomba au sol, et fut pointé de plusieurs armes.
Quand il demanda pourquoi ses propres frères et sœurs lui infligeaient ce traitement, la réponse fut qu'il les avait abandonnés et qu'il n'avait pas protégé le chef comme le plan l'exigeait. Il était donc un traître à leurs yeux, et était soupçonné d'être celui qui avait livré le gang. John avait beau nier, il était frappé de plus belle.

La sentence tomba: John avait 24h pour fuir le Mexique et ne plus jamais recroiser ses anciens compagnons sous peine d'être tué sur le champ.
Atticus avait le droit au même jugement de la part de ses congénères. Il avait obéis à un lâche plutôt que de rester. Il était le complice d'un traître.

Atticus et John n'eurent d'autre choix que de disparaître.

Pour John, le moment était venu de se ranger. Son plan était de rentrer aux États-Unis, d'où il était venu il y a des années, avant sa vie de gangster, et de travailler jusqu'à avoir de quoi acheter son propre ranch.
Atticus était décidé à le suivre où qu'il aille puisqu'il était dorénavant son seul allié.

C'est après deux longues années de travail que John, pu acheter une pauvre petite ferme, dans la ville de Goldfield, qu'il reconstruit seul et agrandit dès que ses récoltes sont bonnes, qu'il arrive a vendre des moutons et que ses moyens le permettent…

Atticus l'aide comme il peut, notamment en labourant les champs avec son maître et en menant le petit troupeau de mouton. Pour cela, il sacrifia à nouveau sa liberté.

Tout les deux essaient de se convaincre que cette vie en règle est faite pour eux, mais au fond, ils ont toujours ces pensées de nomades et de hors-la-loi, et une question les taraude toujours: Qui est le véritable traître ?

En tout cas, John nourrissait quelques projets de vengeance s'il arrivait à mettre la main dessus...
Atticus lui, ressassait la vie avec son groupe de chevaux en semis liberté.

But/Objectifs :
- Pouvoir retrouver certains membres du Gang dont il était très proche ou au moins obtenir des informations sur leur situation actuelle.
- Il souhaite voir son cavalier réussir à retrouver le droit chemin, malgré le passé de ce dernier.
- Atticus à toujours son instinct primaire qui prédomine. Il ne souhaite pas rester seul au ranch toute sa vie...



    — Physique.

Atticus est un superbe étalon Aztèque sauvage. Il a une carrure svelte mais ses muscles sont très marqués. Il a hérité d'une magnifique robe isabelle qu'un gène Sooty de noir, telle une aquarelle. Ses crins sont légèrement ondulés et marron très foncé, presque noir.
Sa petite liste en forme de losange légèrement échancré sur le bas s'interromps puis poursuit sa course jusqu'à croiser des naseaux tintés de rose.
Il a de grandes chaussette noires surmontées de fines rayures.
Ses yeux vert olive dont on ne sait vraiment lire l'expression sont envoûtants, plus d'une jument s'y sont noyées en tentant de déchiffré le secret de ce regard.


    — Mise à jour du personnage


Á ne pas remplir lors de l'inscription du personnage. Résumé rapide de ce qui est arrivé à votre personnage entre deux recensements. Pas de format spécifique si ce n'est de préciser soit l'âge du personnage ou la date de mise à jour, ou encore mieux les deux ! Pas de nombres de ligne minimum.

Ex: 25/06/2020 - Cookie (6 à 8 ans) a suivi la harde de Ferliya et a trouvé sa place au sein du troupeau en devant cheval de surveillance.



    — Derrière l'écran.

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as-tu lu le règlement ? mets-en la preuve :

quels sont tes double-comptes si tu en as ? :
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MessageSujet: Re: Atticus dit "Le Saltimbanque"    Atticus dit "Le Saltimbanque"  Icon_minitimeJeu 25 Nov 2021 - 2:23

Roh, mais quel personnage intéressant ! Re-bienvenue avec lui Wah
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MessageSujet: Re: Atticus dit "Le Saltimbanque"    Atticus dit "Le Saltimbanque"  Icon_minitimeSam 27 Nov 2021 - 19:37

Hawn marki beaucoup ♥
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MessageSujet: Re: Atticus dit "Le Saltimbanque"    Atticus dit "Le Saltimbanque"  Icon_minitime

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