- • Caractère (3 lignes minimum) : Santaro est un cheval avec du sang froid. Il n'agira pas d'un coup, sur un simple coup de tête. Il réfléchira toujours avant de prendre une décision, surtout si elle est importante, tant qu'il a le temps. Cela ne fait pas de lui pour autant un cheval lent. Il peut prendre une décision très rapidement si le temps presse. Il est très méfiant des inconnus, mais cette méfiance n'a rien à voir avec de l'agressivité. Il lui faut un petit moment avant de parler franchement avec un interlocuteur inconnu.
Il aime son troupeau e donnerais tout pour le protéger. Avec lui, la provocation ne marche pas.

- • Physique (2 lignes minimum) : Cet étalon à une forte carrure. Une encolure massive, et des membres puissant: voilà ceux à quoi il ressemble. Ses membres sont forts et permettent de le faire galoper longtemps, mais n'est pas le plus rapide à la course. Quant à sa robe ( la signa est pas complétement exacte, c'est une provisoire) il est gris pommelé, le corps plutot clair et des pommelures foncées sur la tête, l'épaule et la croupe. Ses membres sont presque noirs. Ses crins et sa queue sont plus foncés que son corps.

- • Défauts (3) : Méfiant // défiant // hésitant
- • Qualités (3) : Réfléchi // loyal // Franc



- • Histoire (Au moins 5 lignes) : Santaro est né au sein d'une harde de chevaux sauvages. Sa mère s'appelait Wind et était grise comme la brume, mais douce comme la caresse des premiers rayonnements du soleil sur la plaine. Elle avait un calme à toute épreuve et ne s'énervait presque jamais, contrairement à son père, Storm, qui lui était impétueux et impulsif. Dès que Santaro, poulain, faisait un pas de travers, son père était là pour le corriger méchamment. Le poulain le craignait. Mais sa mère était toujours là, et l’empêchait de lui faire du mal. Et grandissant ainsi, entre les réprimandes de sont père, les caresses de sa mère et les jeux avec les autres poulains. Mais ce qui devait arriver arriva. Un jour que sa mère c'était éloigné, Santaro vit son père s'approcher. Il avait l'air de mauvaise humeur et était irritable. Il dit au poulain, qui maintenant devenait adulte:
-"Pars, et ne reviens jamais. Ta place n'est pas ici. Pars vers le soleil levant et n'essaie pas de revenir, ce n'est pas ta place."
Il ne pu même pas revoir sa mère une dernière fois. Et c'est ainsi qu'il partit sans autre choix que de marcher, toujours et encore, en ésperant croiser un jour un troupeau qui l'accepterait. Lassé de cette vie monotone, il finit néanmoins par trouver une harde qui l’accueillit. Grâce à son jugement sur et à son sang-froid, le cheval gris finit par remonter dans l'éstime des autres membres, jusqu'à devenir chef.