Nom: Spirit, nom lourd de sens, qu'il porte fièrement, mais dont il ne connait plus le véritable sens. Spirit n'est plus pour lui le nom de son père, c'est juste un résidu de son passé, ou les notes suaves que les juments prononcent pour le faire approcher. Age: Six ans. Six années puéril et sans fondements. Ou les lois on été déjouées, ou les règles ont été brisées. Des centaines de fois. Sexe: Étalon, dirons les juments. Femmelette dirons les autres mâles, à en jugé par son sens inné de la fuite. On ne change pas les bonnes habitudes. Race: Mustang, décris comme le roi de l'Ouest, une métaphore au vent. Libre et indomptable. Ça l'avait bien fait rire, quand il l'avait apprit. Aujourd'hui, il est préférable de faire ami-ami avec les humains, si on ne veut pas crever de faim. Groupe: Les chevaux indiens, qui l'ont héberger, ce petit morveux, ce monstre au visage d'ange. Il l'a quitté, pour ensuite revenir. Retour à l'expéditeur, ils vont devoir se le coltiner. Le monde était mieux sans lui. Grade: Cheval de surveillance. Il préfère resté au camp, et paresser toute la journée que devoir chasser, ou capturer d'autres animaux. Quand à allé à la guerre, pourquoi ne pas lui demander vous même ? Il partira dans la direction opposé. Le combat, ce n'est pas pour lui.

Physique:

Ce mec, c'est un prédateur déguisé en caniche !

« Spirit n’est pas spécialement beau. Disons qu’il a juste un charisme impressionnant. Je doute que les juments se retournent pour le regarder, à cause de son physique exceptionnel. Elles le font, cependant, et c’est dû à sa démarche, à sa façon de faire, à ses manières légèrement efféminés – peut-être un peu trop pour être apprécier des mâles -. C’est ce qui fait son succès. Sa confiance en soi. Spirit, rien ne peut l’abattre, et il le montre. Jour après jour, seconde après seconde. Ce masque, il se l’est forgé de toute pièce. Loin de lui l’image du poulain apeuré qu’il était, avant. Il ne reste plus que ce sourire enjôleur, peint sur des lèvres, qui m’a foi, donnent envie. Cet étalon renferme des secrets, qu’il ne serrait pas prêt à révéler. A quiconque. Mais l’idée qu’il puisse se préoccupé d’autre chose que de son apparence n’effleure même pas l’esprit de ces dames. Oh non, Spirit sera toujours le sans âme, celui qui a perdu toute son humanité, d’une façon bien différente des autres mâles. Cela lui convient bien, quoi qu’on puisse en dire. Tant qu’on se calque sur son plan, et qu’on ne sort pas des sentiers battus, tout baigne. Après tout, c’est un manipulateur. » le cheval sage de la tribut.

« Des balzanes noires, remontant jusqu’à ses genoux. Quatre, son nombre porte bonheur, à ce qu’il paraitrait. Un nez tout aussi sombre, ainsi que des crins soyeux, bien entretenus. Une robe isabelle, aussi douce que ses paroles, aussi fausse, aussi. Non pas que ce ne soit pas sa couleur de naissance, celle que mère nature lui fit don. Non. Juste, cette couleur rappelle son père, défenseur de la liberté, reflétant toutes les années où nous, chevaux sauvages, nous nous sommes battus pour conserver un peu de cette dernière, si rare. Il lui fait honte, il ne mérite pas ce cadeau-là. Pas après avoir commit toutes ces choses puériles et mesquines. Pas maintenant. C’est terrible. On dirait son sosie. Son ombre, à un moment précis de la journée, quand elle se révèle être plus petite que précédemment. Sa carrure est un peu moins imposante que celle de son père, ce qui est compréhensible. Il n’a jamais beaucoup connu de situation où la force physique était de rigueur ! Il préfère éviter ce genre de plan foireux. Cela à toujours été comme ça. A chaque fois. Si lâche, pour le fils de L’étalon. » une jument solitaire.

« Qu’il crève. Bon dieu, j’aimerais que son sourire s’efface, que ses os se brisent en mille morceaux, que sa si joooolie robe prenne du pourpre, soit tachée de son sang, comme il s’en doit, pour un traitre comme lui. Je ne suis pas le seul à le penser. Cet étalon, ou que devrais-je dire ! Ce détritus se pavane comme un yearling naïf et frai, et elles le dévisagent en gloussant comme des idiotes, alors qu’ailleurs attendent des étalons bien plus saints, et vigoureux, qui ne les laisseront pas en plan à la première occasion. Tant de haine pour un être si charmant, direz-vous. C’est totalement faux. Spirit s’abreuve de cette colère, qu’on perçoit dans les traits de chaque visage braqué sur lui. Il en est content. Il aime être détesté, car il sait qu’avant de l’abhorrer, on l’a aimé, on l’a adulé, on a eu envie de lui. Son sourire narquois et ses postures aériennes ne me trompent pas, moi. Je sais reconnaitre une personne vile et veule quand j’en vois une. Cet étalon, c’est le diable déguisé en caniche ! » un voisin, étalon.

« Il possède un visage d’ange, en forme de cœur, aux traits bien plus doux que ceux de son père. Qui pourrait croire qu’il referme en lui tant de défauts ? Au premier abord, on aperçoit un charmeur, quelqu’un qui ne lâche jamais sa proie. Un meurtrier, un peu, mais dans un sens que certaines personnes pourraient qualifiés dérisoire. Pourtant, c’est ce qui le défini le mieux. Sa queue en panache vous le fait savoir, ses pas rehaussés, ses œillades appuyées : Il est fait pour retomber sur ses pattes. Redoutable, dangereux pour lui, et pour les autres, bien que cela ne soit que psychologique, il faut le dire. En effet, il n’a pas beaucoup de muscles, préférant jouer son atout le plus précieux : L’agilité, la finesse, la rapidité. Là où ses adversaires seront trahis par leur imposante carrure, il galopera comme une flèche. Un éclair d’une couleur caramel, éblouissant. Le plus incroyable chez lui reste ses yeux. D’un vert d’eau saisissant, reflétant son envie de vivre, et son espièglerie à toute épreuve. » une jument qu’il a put croiser, un jour.

Caractère:

Ça va, ça va, j’ai compris, j’ai pigé ! Merde, je pige plus.

« Spirit. Que dire de ce personnage étrange, survolté, instable, changeant comme le vent ? Ce n’est pas un lecteur de pensé. Ni un sage, encore moins un guerrier, ou un fidèle destrier. Spirit à fait beaucoup de choses qu’on qualifierait de mauvaises, tout au long de sa vie. Tellement qu’il en a oublié la moitié. Disons qu’il à un don pour refouler ce qui ne lui plait pas, du moins faire semblant. Il cache, il ment, il manipule, sans penser une seule seconde que cela ne servira à rien. Que tôt ou tard, quelqu’un arrivera à le cerner, à voir en lui cette souffrance qui le ronge depuis petit. Une mère absente, un père mort, six pieds sous terre, des dizaines de personnes pensant qu’il pourrait être la relève. Le Spirit de sa génération. Trop de pression, de responsabilités. Il a laissé tomber, il a abandonné. Lâche, lâche, lâche. Sur tout la ligne. Une vie qui s’achève, minute après minute, dans la décadence, vers le fond. Les profondeurs abyssales. Il sait très bien que s’il continue comme cela, il touchera le trou noir, le point de non retour. A trop brisées les règles, enfreindre les lois, il se peut qu’il le paye. Un jour. Tout le monde attend la sentence. Avec impatience. Personne ne supporte l’étalon à la robe de feu. Comment le pourrait-on ? Lui, en revanche, n’a pas son pareil pour se trouver exceptionnel. Les remarques, il s’en contrefout, comme de l’an quarante. Il n’y a que lui. Lui et lui seul. Il peut faire croire à une jument qu’il ne vit que pour elle, il peut vous faire penser qu’il est votre ami. Mais c’est faux. Tout n’est que tissu d’ânerie. » une vieille jument des indiens.

« Il souffre. Oh bien sûr, il le niera, il fera croire, que ses souvenirs, il s’en contrefout, que les mots n’ont pas d’importance. Mais ses maux à lui, il ne les oublie pas, et pourtant, dieu sait comme il a essayé de les envoyer balader, aussi loin qu’il le pouvait. Mais le malheur reste, omniprésent. Pour tout le monde. Spirit ne fait pas exception à la règle, malgré ce qu’il voudrait faire croire aux autres. Il ne pourra pas jouer comme cela indéfiniment. Au bout d’un moment, il devra faire tomber son masque. Quoi qu’il puisse en dire. Quoique. Spirit pleure, quelques fois. Spirit a peur, aussi. Mais tout cela, c’est psychologiquement. Spirit est perdu d’avance, pourtant il se dit intouchable. Il se ment à lui-même, aussi bien qu’il ment à tout le monde. Spirit peut être le feu et la glace, comme si deux personnalités se fondaient en lui, bien que la façade qu’il montre, bien souvent, est celle d’un étalon toujours souriant, et au sens de l’humour particulièrement développé. Il se complaît dans son mode de vie abject des les autres, et si on n'est pas content pour lui cela n'importe que peu, lui le sera toujours. Au moins un. Spirit est différent. Spirit est étrange. Et ça lui plait. » un étalon qui a passé plusieurs jours en sa compagnie.

« Il parle. Beaucoup. Beaucoup trop. Il dit n’importe quoi, pour combler le vide. Cela lui est utile. Parfois. Il préfère les pourparlers aux combats, et essayera toujours de sauver sa peau avec de belles paroles, plutôt qu’en utilisant ses muscles. Mais cela rate, souvent, vu son sens inné pour se créer des ennemis, s’attirer des ennuis. Il provoque les autres, des étalons bien plus forts que lui, et aime ça. Il est doter d’un esprit purement suicidaire, et n’hésitera pas à provoquer le danger. On pourrait le dire presque masochiste. Sur les bords. Aventureux jusqu’au bout des sabots, et pourtant si couard. Il n’est jamais totalement conscient des choses. C’est sûrement pour cela qu’il s’attire constamment des ennuis. Spirit est quelqu’un qui vit dans son monde, avec ses propres règles, ses fondements, sa propre conception de l’existence humaine. Avec les hurlements, les cauchemars, ses pensées fantaisistes, qui sortent bien souvent de son corps, pour venir le déboussoler, à lui proférer des choses toutes plus fausses les unes que les autres, à ses oreilles. Spirit n’est pas fou. Il est juste ailleurs, jamais sobre, et la seule manière de rester encré fermement au sol, pour lui, est de charmer et faire du mal. C’est tout ce qu’il a trouvé pour vivre, pour se faire reconnaitre. » une jeune jument qui a comprit son manège, chose rare.

« Cet étalon n’a pas beaucoup de qualités, ce mot ne faisant pas vraiment parti de son vocabulaire. La seule chose convenable qu’on puisse dire de lui, est qu’il est loyal. Il est loyal à sa façon tordue, que lui seul à le loisir de comprendre réellement. Et pas forcément envers son camp. D’ailleurs, il ne se dit pas appartenir à un camp. Il va, au gré de ses envies, parce qu’il est libre, et que sa liberté passe avant tout le reste, peut-être même avant sa vie, c’est à discuter selon les jours. Spirit est loyal envers les rares amis qu’il a, bien qu’amis reste un bien grand mot. Oui, les sentiments lui font peur, et sont aussi compréhensible que la parole pour un œuf dur. Il ne les métrise pas, et les méprise, et possède même « un détecteur à moments délicats d’effusions de bon sentiments. » comme il se plait à le dire. Il n’est pas insensible. Il n’est pas méchant. Il est juste incompris, par tous, même par lui-même, et refuse de se laisser abattre. Ne pas s’attacher, laisse paraitre des choses totalement fausses, appeler la différence l’indifférence. C’est son refrain favori, et c’est peut-être cela qui fait qu’on s’attache vite à lui. Avant de comprendre qu’on ne pourra tenir longtemps à ses côtés, sans lui tirer une balle entre les deux yeux. » un vieil hongre indien.

VOICI MON HISTOIRE ...

Vous avez une sorte de désespoir hystérique dans votre rire.

Rien n’est permanent. Pas même la mort.

Cette phrase a dicté la vie de l’étalon de feu, et l’a dicte encore aujourd’hui, pleinement. Rien n’est permanent. Le bonheur, les sourires, la misère, le sang, les amis, la haine. Le monde. Tout cela s’effritera peu à peu, sera bouffé par le reste, et tombera dans l’oubli. Cela lui fait peur, un peu. Il ne veut pas être oublié. Pas lui. Alors tout au long de sa fragile existence, il essayera de rester sur son piédestal. De ne pas flancher. Au diable les bonnes manières ! Spirit veut être reconnu. Ce sentiment remonte à la naissance. Une naissance hors du commun. Peut-être. Comme toujours, de toute façon. Les traumatismes remontent à chaque fois de l’enfance, cette époque emplie de naïveté, d’émerveillement. Certaines fois. Pour les autres, rien n’est moins sûr.

Spirit. Le prénom est doux, il sonne bien. Esprit. Liberté. Pour le poulain, il résonnera toujours comme un cri, un cri perçant qui le ramènerait à ses cauchemars. Et lui, essayera de fuir. Encore. Trop de responsabilités sur ses épaules frêles, trop de visages braqués sur lui, avides de savoir si oui ou non, il incarnera la liberté, comme le fit son père, avant lui. Comment, après tout cette persécution, voulez vous qu’un jeune cheval ressorte saint d’esprit, et prêt ? Il a fuit. Il a prit une autre direction. Pourquoi se battre, alors qu’on le comparera toujours à L’étalon des plaines, le symbole de la rébellion ? Pourquoi protéger les autres, pourquoi les aider, alors qu’ils ne feront que dire que vous auriez pu faire mieux ? Spirit ne voulait pas de ça. Il n’en a jamais voulu, et les autres chevaux sauvages, cette horde qui l’a vu naitre, l’ont encouragé à se barrer. Loin, très loin, aussi loin qu’il le pourrait. Pour ne jamais les revoir, eux et leurs idées fantaisistes. C’est ce qu’il a fait. Frêle, maladroit, il a prit la route, pour ne jamais revenir, laissant sa mère, ses amis, sa famille, et ses terres verdoyantes derrière lui. Il n’en avait que faire. Ne rien posséder, à part sa propre liberté, lui convenait très bien. Et puis, il n’était pas fait pour s’attacher. Au fond, ce n’était peut-être pas plus mal, si on regarde bien. Peut-être. Oh, bien entendu, il n’est pas allez bien loin. Il n’aurait jamais pu. Et puis, à quoi cela aurait servi ? Qu’aurait-il trouvé, au bout du chemin ? La fin, le trou noir, les abysses, ou un avenir prometteur ? Il n’a pas cherché à le savoir. A seulement un an, encore poulain, il était déjà idiot. Cela ne s’est pas arrangé, avec l’âge. Les choses empirent. Mais après tout… Rien n’est permanent. Pas vrai Spirit ?

Ses yeux reflètent cette folie, qui le ronge de l’intérieur, qu’il n’ose pas faire ressortir. Sa robe est tâchée, abîmée. Il s’en fout. Il rit, un rire hystérique. Un rire de soulagement, aussi. A patauger des jours dans le désert, sans eau ni nourriture, il a enfin payé. Les indiens sont arrivés, lui ont passés la corde au cou, et ce vocable endiablé se répète dans sa tête : « Je ne suis plus seul. Je suis ailleurs, AILLEURS, et m’en sortirai ! » On l’amène au camp. Il ne recule pas. On le soigne, il reste debout, stoïque. Il n’hennit même pas de douleur quand on lui arrache une longue épine de la joue. Son sang chante, chante qu’il se sent incroyablement vivant. Pour lui, une vie s’achève, et une autre commence. Il n’est plus le fils de feu Spirit. Le grand. Il n’est plus le poulain sauvage, aux traits marqués par la fatigue, par les questions qui n’ont pas de réponses. Oh non. Il n’est plus rien de tout cela. C’est terminé. Il renaitra, oui. Mais autrement, et cela, il s’en porte garant.

Résurrection. Les changements s’enchainent. Spirit se déchaine. Vif, habile, fou, nouveau. Les conneries se comptent par paquet de dix, chaque jour, chaque nuit. Il ne s’arrêtera jamais. Comme dit le proverbe : Vous dormirez, quand vous serrez morts. C’est un bon dicton. L’étalon de feu grandit. Il devient confiant, drôle, charmeur. Des facettes qu’il se construit de toutes pièces. Il est jugé comme désirable, et en profite. Cela aurait été inhumain de s’en dispenser. En parlant d’humain, l’un des bipèdes commence à vouloir poser ses fesses sur son dos, qui se muscle. Il ne veut pas. Oh, ils lui donnent à manger, le couvrent, le soignent, mais Spirit tient à sa liberté. Plus que tout au monde. Il se tient prêt à repartir. Un jour ici, l’autre là-bas. Mais il revient toujours. Parce qu’il ne peut vivre sans l’aide des hommes. Alors il capitule, un peu. Il se laisse faire, un peu aussi. Pourtant, on sait tous que cela ne durera pas longtemps. Ses folies reviennent toujours, quoi qu’il arrive. Ses cauchemars, ses souvenirs. Alors pour oublier, Spirit galope. Loin, encore plus loin. Il ment, il veut juste qu’on le laisse tranquille. Puis au bout d’un moment, revient sans rien dire. Un peu plus exécrable. On essaye de le calmer. Personne n’y arrive. Les bipèdes frappent, il se retrouve au sol. On ne le supporte plus.

Il promet d’arrêter. Il ne tient jamais ses promesses. Pourtant, cette fois-ci, il y arrive. D’une manière peu commune, certes, mais tout de même. Les crises font placent au charme, les bêtises font placent à un art complexe, qu’il semble métriser à la perfection. A partir de quelle intensité la jument flanchera ? Qu’apprécie-elle ? Ses yeux, vert eau ? Ses manières efféminées ? Son rire cristallin, et ses pirouettes agiles, qui font que ce matou retombe toujours sur ses pattes ? Ses remarques sarcastiques, sa façon de rechercher le danger ? Il le sait. Il arrive à le percevoir, à ouvrir leurs cœurs. Il n’était ni le digne descendant de son cher père, ni un fou furieux. Pourtant, ces deux traits de caractères font partis de lui. Parfois, il n’ose plus ouvrir les yeux, de peur de se retrouver comme au premier jour, lors de sa première naissance. Parfois, il parle tout seul, et l’envie de sauter du haut d’une falaise recommence à le hanter. Mais il revient toujours à ses esprits. Esprit. A son but. Les choses ont encore changées, Spirit a encore évolué. Rien n’est permanent.

Prénom: Loïse, encore et toujours. Vous en avez marre, hein ?
Age: Quatorze ans, bientôt. Un âge si peu avancée, et pourtant, pourtant, elle vous paraitra retenir en elle toute la connerie de ce monde.
Où as-tu trouvé le forum ?:Je m'en rappelle plus trop bien. J'avais du flâner à la recherche d'un forum spirit, et je suis tombé sur celui là, qui n'avait encore peu de membre, mais qui était déjà si accueillant.
Comment le trouves-tu ?:Il a changé. Bon dieu, personne ne peut me contredire la dessus. Les membres ont changés, le staff, aussi, un peu. Les couleurs, la façon de faire. Mais malgré tout, il reste spirit rpg. Cette communauté si folle, si belle. Je l'aime.
As-tu lu le règlement ? Mets la preuve:Ouip. Ok, par Opale . J'ai du relire le règlement, parce que j'allais remettre Mustang.
S'agit t'il de ta première expérience en RP ? Héhé, j'aime cette question, où je peux répondre fièrement que ouuuuuui, c'est ma première expérience rp. 8D Non non, ça fait quelques années que j'écris.